OUVERTURE DU PREMIER CONCOURS

c'est bien, lol, il faut savoir rester neutre

en fait je pense qu'il n'y a que Ahrimane et Gerell qui ont quelquechose contre moi

Moi je pense que Gerell a vraiment une dent contre toi, sa ne fait aucun doute...lol non, je pense que vous êtes plus liés que beaucoup de monde ici, au contraire.

boff, c'est juste parce que c'est mon grand-père, sinon je lui aurait cassé son dentier!

bon à part ça je crois qu'on va arrêter de flooder sur ce topic...

Ouais... C'est quoi le thème déja?
Non, je déconne, d'ailleurs, au prochain concours je voudrais m'inscrire.

Bon, j'ai fait mon texte, je vais donc inaugurer le concours de posts, soyez indulgent. Mon texte est la suite direct de ceci (pour ceux qui auront le courage de le lire): https://thalion.forumsrpg.com/viewtopic.forum?p=1298#1298
Pour Discerner toutes les subtilités, il faut lire lentement et être attentif. En espérant que ça plaira.

-On va vous raccompagner maintenant. Je vous fais entièrement confiance quand à la réalisation de cette mission.
Par la suite je fus rapidement ramené en dehors de la bâtisse et je me retrouvais seul dans une rue de Sardim, avec une quête dans les bras. Je rejoignais rapidement l’auberge du Pain Perdu où je passais mes nuits. Je rassemblais mes affaires, puis m’éclipsa par la fenêtre et sortis de la ville.
Tout en marchant dans la forêt je réfléchissais. La lune était pleine et sa lumière passait avec agilité entre les feuilles des arbres, ce qui produisait une ambiance particulièrement glauque que j'appréciais. Cette mission s’annonçait plus que difficile. Si la situation le demandait, je pouvais avoir à affronter tout un monastère et les membres d’un culte secret. J’allai avoir besoin d’appuis de qualité. Je pensais évidemment tout de suite à Loki, mon sournois compagnon de la quête du roi d’Arbenor. Il était discret, efficace et il était toujours agréable de commettre des meurtres et autres camaraderies en sa compagnie. Il fallait absolument que je retrouve sa trace, il serait d’une aide plus que précieuse, mais comment le retrouver ? En effet c’était pour son sens de la discrétion que je l’appréciais, mais cela ne rendait que plus difficile sa localisation.
Si mes souvenirs étaient exacts, il avait, avant que l’on ne se quitte la dernière fois, le désir de s’engager dans une aventure dans la région de la ville d’Asnaraenn, dans le royaume de l’air. Je connaissais très peu cette région, ce serait là une bonne occasion de parfaire mon savoir et étendre mes possibilités, essentielles dans l’éxécution de mes missions.
C’est pour cette raison que je me retrouvais quelques jours plus tard, fatigué par de longs jours de voyage, dans la « gracieuse » cité Elfique d’Asnaraenn, dans une cellule…
Pourquoi fallait-il que les Elfes aient les meilleurs systèmes magiques de protection des biens ? Au moins j’aurais appris quelque chose d’important durant mon séjour comme je l’avais prédit : il faut éviter, si possible, de tenter de voler des Elfes, encore moins dans une grande cité ultra protégée comme Asnaraenn.
Je croupissais déjà depuis plusieurs jours dans ma cellule sombre et humide, à manger une nourriture immonde elfique, que j’entendis un petit bruit lointain. Ma cellule se trouvait apparemment à l’étage disposait d’une fenêtre à barreaux et donnait sur une ruelle sombre. Je pensais que ce petit bruit lointain était sans intérêt. Mais il se fit de plus en plus fort et discernable, c’était un bruissement.
-Bonjour, bonjour ! dit soudainement une voix.
-Hein ? Mais qu’est-ce que ?...Loki c’est toi ?

Bon, puisque personne n'a posté depuis un bail, je me propose pour participer au concour comme ca Kazahd aura pas fait tout ca pour rien!

Ouais, moi aussi je vais faire un post spécial

Pour honorer la mémoire de Gerell, je garde mon poste de membre du jury

Le chant d’un oiseau s’éleva, ode au jour naissant par delà la mer. Sur la plage couleur de cendre vinrent mourir quelques vagues couronnées d’écume. Le soleil levant inonda de lumières les rivages endormis, allumant des flammes fugitives au cœur d’un bosquet niché au creux de hautes falaises.
Mais la voix des rossignols était brisée, la houle éveillait des gémissements plaintifs en se brisant sur les récifs et l’astre du jour teinté de pourpre semblait mêler à l’eau des flots de sang. La silhouette découpée d’une falaise se dessinait dans le ciel éclatant où des dizaines de nuages cotonneux étaient baignés par les premières lueurs de l’aube. Plus loin, l’eau s’engouffrait entre deux hautes parois, dans une irrégularité du relief où le roc s’était affaissé. Le passage était juste assez large pour permettre le passage d’un navire guidé par le plus habile des marins. Il s’ouvrait sur une immense baie dissimulée par les falaises.
L’eau y était limpide, turquoise mais par endroit, troublée par des flaques de sang où flottaient des cadavres transpercés de flèches. Des charognards planaient au dessus des corps sans vie mais le reste de ces rapaces s’étaient principalement concentrés au dessus d’une île où ils effectuaient un ballet macabre.
Cette île s’élevait au centre de la baie et de nombreuses construction surgissaient ça et là du sol. Elle était habitée. L’altitude, en son cœur, s’élevait prodigieusement pour abriter à son sommet un somptueux palais de pierre blanche. Sa façade était percée d’une nuée d’ouvertures donnants de tous côtés sur la baie. L’édifice en lui-même ne constituait qu’une enceinte circulaire dissimulant en son sein un berceau végétal où fourmillaient lacs, bassins et fontaines. Des arbres aux longues ramures offraient un ombrage agréable. Ils couvraient de leurs branches des escaliers d’argent qui permettaient l’accès à différentes hauteurs organisées en terrasses. Tous se rejoignaient au point culminant de l’île ; une large platteforme dépourvue d’arbre hormis un Marlonne présent ici depuis des décénies. Autour de lui neufs vasques surgissaient du sol. A leur côté, neuf prétresses gîsaient, mortes. La flamme ancestral s’était éteinte, la cité était morte avec ses gardiennes. Cependant, auprès de l’arbre, la vie perdurait. Une jeune femme aux cheuveux d’ébènes était étendue entre ses racines, inconciente. Les feuilles de l’arbre aux ramures incuvées vers le sol carressait son visage. Les branches courbées, le Marlonne semblait pleurer sa cité.



Voici un premier jet auquel j'akouterais certainement une suite. Il faut aussi que je le retravaille un peu.

"J'arrive Maître!"avais-je crié.
Mais j'arrivais en courant le plus vite que mes courtes jambes pouvaient me porter, pourvu qu'il ne soity pas mort pensai-je...
J'arrivais en haut de la colline et là dans la clairière qui avait vu passer toutes mes leçons, je vis ce combat à la fois répugnant et fascinant. Les avariels étaient sortis des bois et mon maître qui était allé chercher des pommes pour le diner voyait son panier renversé et il tirais à présent des rafales de flammes de ses mains qui rougeoyaient dans la pâle clarté de la lune.
Ils étaient une dizaine, une vingtaine, peut être plus.
Les avariels sortaient des bois à des vitesses fénoménales mais quand un seul s'approchaient trop près de mon maître, ils mouraient tous, sans exception. A chaque rafales, la situation s'éclaircissait puis redevenait sombre.
Et puis très vite des avariels plus grands sortirent des bois, traînant la raison des problèmes de ses derniers temps: Les trolls rouges, la pire espèce d'après mon maître. Ce qu'il y avais d'horrible avec les trolls rouges c'est qu'il ne tue pas pour se nourrire ou par rage mais c'est que plus la cible souffre plus ils preinent du plaisir.
Je ne pouvais bouger, tétanisé par la peur, et sous mes yeux, les avariels lachèrent les trois trolls et se retirèrent pour admirer le spectacle.
Ce fut un massacre, un puissant magicien mort en quelques secondes, les trolls se disputaient à présent son cadavre.
Une sensation que je n'avais jamais ressentis s'installa en moi: la haine me fit grandir, grossir et ma peau se recouvris d'écailles, des choses longues et fines poussèrent dans mon dos. Je criais de plaisir de pouvoir, mes yeux étincellèrent et je me laissais aller à un massacre que les mots manquent pour l'expliquer. Le genre de tuerie que l'on ne peut avoir fierté d'avoir rélaisé ou même de l'avoir regardé.

Bon v'la j'ai fait un texte comme ça disons que c'est pré concouriel... histoire d'avoir quelques conseils...

Je pense que Gerell serait content de vos prestations, si quelqu'un arrive à le contacter, il faudrait lui toucher un mot en ce qui concerne la résurrection de son concours. Il faudrait aussi voir si Baldur peut venir reprendre son poste de membre du jury...

Si personne n'y voit d'objection, ce serait cool qu'on nous refile quelques conseils ou autres sur notre style pour qu'on puisse s'améliorer nan?

Hier gerell était sur guild wars,j'ai pas osé lui parler,de toute maniere je vois pas pourquoi je lui parlerai,c'est pas que je lui en veu,mais il a quitté thalion,et ma laissé avec une quête dans els dents.

J'ai pas dit sa,c'est juste que....rien......j'ai juste dit sa comme sa c'est tout.

Kira qui demande des conseils pour s'améliorer je suis désolé mais j'en suis incapable, et à part l'élite de ce forum je me demande qui le peut...

Franchement, t'écris largement aussi bien que moi alors pas de fausse modestie!

Au fait Arimane, pour ton texte, fait gaffe à la concordance des temps(jviens dle voir en Français) Par exemple: Ce qu'il y avait d'horrible avec les trolls rouges, c'estt...

Mais plutot: Ce qu'il y a ... c'est
Ou ce qu'il y avait ... c'était.

A toi de voir.

Kira a écrit:

Franchement, t'écris largement aussi bien que moi alors pas de fausse modestie!

Et après tu me parle de fausse modestie...

Ahrimane, la concordance des temps est un piège dans lequel le plus érudit des roleplayers peut tomber, c'est-à-dire moi...Nan je déconne arrêtez de me jeter des cailloux!

Le chant d’un oiseau s’éleva, ode au jour naissant par delà la mer d’Eskën et le soleil levant inonda de lumière les rivages endormis, allumant des flammes fugitives au cœur d’un bosquet. Tout paraissait respirer la quiétude en ce cadre idylique.
Mais la voix des rossignols était brisée, la houle éveillait des gémissements plaintifs en se brisant sur les récifs et l’astre du jour teinté de pourpre semblait mêler à l’eau des flots de sang. La silhouette découpée d’une falaise se dessinait dans le ciel éclatant où des dizaines de nuages cotonneux étaient baignés par les premières lueurs de l’aube. Plus loin, l’eau s’engouffrait entre deux hautes parois, dans une irrégularité du relief où le roc s’était affaissé, ouvrant un passage entre les falaises. Cet étroit canal était juste assez large pour permettre le passage d’un navire guidé par le plus habile des marins. Il s’ouvrait sur une immense baie dissimulée par les roches gigantesques. L’eau y était d’ordinaire limpide, turquoise, mais en ce jour, le sang la troublait. Des dizaines de cadavres mutilés, percés de flèches, dérivaient lentement pour leur dernier voyage. Cependant, les charognards s’en étaient désinterressés, une source plus abondante de nourriture leur étant offerte non loin, sur une île étrange où s’élevait un charnier fumant. Les rapaces s’y étaient concentré et effectuaient leur ballet macabre, formant un nuage noir et dense dans le ciel nuageux. Mais cette île n’était pas faite de sable ou de pierre, son sol était translucide comme s’il eut été fait de verre. Les tours, les arches, les balcons qui y fleurissaient semblait n’être qu’eau cristalisée dans un ensemble parfait, brillant au soleil d’été, multitude d’étoiles tombées du ciel sur la cité. Tout y était lumière reflètée et distribuée par des murs d’argent, de cristal et de glace. Cette île artificielle, cette ville magnifique ne semblait être qu’une extension à l’eau de la baie, ne troublant nulement son équilibre et nourissant sa beauté. Mais en cette terrible matinée, sa grandeur, sa majestée était brisée. La douce brise d’été chariait l’odeur du sang, des charognes et de la mort. Le long des rues et des passerelles qui permettaient autrefois à une foule d’êtres vivants de ralier divers bâtiments, tour, jardins, lacs et fontaines gisaient des centaines de créatures étranges mêlées à des corps humains bardés de fer et de métal. Ces créatures, elles qui autrefois faisaient de la cité un lieu de joie où l’air résonait du rire clair et cristalins des enfants et où tout n’était que musique et harmonie, ces êtres étranges à la peau recouverte d’écailles d’un bleu nacré et à la longue chevelure d’azur étaient du peuple de l’eau ; les sages et pacifiques ******. La guerre n’était pas de leur préocupations, ils pronaient la paix et il était étonnant qu’ils aient si longtemps survécu à la follie bélliqueuse et meurtière des hommes.


Bon, voila, j'ai pas mal changé mon texte et je risque de l'éditer souvent^^ alors messieurs les juges, au boulot!

Bon, dès que Baldur est disponible on se met au boulot, mais ça va pas être facile...

Faut signaler quand on édite un truc ou vous ver