Les murailles

Le chevalier fut surpris de l'apparition soudaine du phénix puis il le salua, heureux de rencontrer un animal aussi magnifique.
Il avait entendu parler de ces créatures flamboyantes renaissant de leurs cendres. Il les avait vu aussi, dessinés dans les livres Shendaïs qu'il avait longuement lut et étudié.
Des oiseaux rares disaient ces livres, que l'on ne trouvait que très rarement sur Thalion.
Torak fut heureux d'avoir eu la chance de voir et même d'observer de près une tel créature, si légendaire.
Soudain pris de curiosité, il eut soudain envie d'en savoir plus sur cet oiseau mais il se retint de poser une avalanche de questions à Maïwen.
Puis écoutant la description du château, le chevalier sourit.
Il se sentait bien au côté d'elle, au côté de cette ange.
Enfin il entendit les mots qu'elle venait de dire, sur un ton qui laissait transparaître du reproche, à voix basse.
Il lui dit alors:

-Je suis sur que vos conseillers s'occupent bien de votre peuple.

Sur ces mots il pensa au peuple de Karasgöth qi subirait une nouvelle fois une période de tyrannie. Son coeur se serra. Il s'était battu pour libérer ce peuple opprimé mais il n'avait rien put faire.
Une mine triste apparut sur le visage du démon lumineux, puis il contempla une nouvelle fois le paysage attendant une réponse de Maïwen et repensant à son frère revenus du royaume des morts.

Quand elle avait vu le regarde que Torak avait posé sur son famillier, elle émit un petit rire discret pour pas le déranger. Elle hocha lentement la tête par après elle avait vu dans son regarde qu'il voulait en savoir énormément sur cet être doué de penser ... et elle lui sourit.

- J'ai bien remarquée votre regard, et oui, je vais vous apprendre à mieu connaître ses magnifiques créatures.

Souriant comme à son habitude, elle apprécia encore plus les moments passé avec cet homme qu'elle ne connaissait que depuis peu ... et se décida donc de le connaître un peu, un peu pus tard. Car pour le moment, elle sentit qu'il souffrait intérieurement quand il pensait à un drame qu'elle ne connaissait pas ....

- Peut-être, peut-être que mes conseillers vont faire se que je leur ai demandé .... mais je ne fais confiance qu'à peu de monde qui m'entoure à mon royaume .....

Elle s'arrêta et observa Torak ... il n'avait pas l'air bien à cent pou cent .... mais comme toute bonne personne, il devait surment tenter de cacher son trouble. Mais c'était dans sa nature intérieur que d'aider le monde, donc elle ne pouvait le sentir troubler ...

- Quelques choses vous trouble énormément, cher Torak, je le sens et j'aimerais trouvée un moyen de vous aidez du mieu que je peu... dite-moi votre problème?

Elle avait parlée doucement , sans aucun reproche .... elle tentait de l'apaiser avec ses paroles ....

Torak pensait qu'il avait réussis à cacher son trouble mais ce ne fut point le cas.

" Quelques choses vous trouble énormément, cher Torak, je le sens et j'aimerais trouvée un moyen de vous aidez du mieu que je peu... dite-moi votre problème?"

A ces mots le chevalier sortit de sa contemplation. Fallait-il vraiment qu'elle sache? Comment allait-elle réagir?
La réponse était évidente pour Torak, elle avait le droit de savoir, il se mit alors à tout lui expliquer:

-Vous voulez savoir ce qui me préoccupe Maïwen? La réponse est simple: J'ai peur. Peur d'une nouvelle guerre entre le Mal et le Bien, tant de gens vont encore mourir par la seul faute d'un homme et d'un dragon qui veulent reigner sur le monde entier.
Vous avez sans doute entendu parler du Dragon Del'Garath, ennemis de tout les peuples du Bien. Sachez qu'il a maintenant sous son aile un nouvel empereur, plus maléfique mais aussi plus malin que tout ceux qui avait tenter jusqu'à là de conquérir les terres bénéfiques. Cet homme a détruit tout ce que j'avais tenter de faire.
Je m'était lancé dans une quête desespérée: transformer la terre du mal en un royaume de bien.
Je me suis vite rendu compte que cela était impossible.
Bref le nouvel empereur a détruit mon rêve et ce qui m'attriste le plus c'est que cet homme n'est autre que mon propre frère, Balak Kal-Morzan.

Torak avait prononcé ce discours d'un ton calme, fixant toujours le paysage au loin puis il se tourna vers Maïwen et conclua:

-Voilà ce qui m'inquiète, Maïwen.

Elle l'écouta décrire son problème et ne l'interrompis pas ...... elle comprennait son problème, mais elle ne pouvait pas encore comprendre totalement l'ampleur de tout celà .... mais elle prit un moment avant de parler, car elle chercha les meilleurs mots, les paroles juste à ses pensées ...

- Je peux comprendre facilement votre peur envers une nouvelle guerre, car j'en ai peur, moi ossi et je n'en veux pas de ses bains de sang stupide .... mais on ne pourras peut-être pas empêcher celà ...

Elle réfléchit un peu à nouveau, pour se rapeller se qu'elle avait entendue dire sur ce dragon noir .

- Oui, j'ai déjà entendu vaguement parler de ce dragon ... beaucoup de monde vante sa force et sa cruauté .... mais pour le moment ..... je ne m'en inquiète pas impérativement ...... car pour le moment, mon coeur s'attriste à penser que c'est votre propre frère votre ennemi, car une famille n'est pas faite pour se combattre, mais plutôt pour s'aimer et s'entraider....

Elle s'approcha de lui et lui prit lentement la main.

- N'ayer aucune crainte , je vous ferez toujours confiance, vous êtes l'ami d'un très bon ami. Eh puis d'ailleurs, j'apprécie énormément votre présence .

Elle lui souriat tendrement en espèrant l'avoir rassuré un peu, car elle n'aimait pas, voir une personne souffrir de l'intérieur.

Torak buvait les paroles de l'ange, des paroles rassurantes et apaisantes.
Oui une famille n'est pas faite pour s'entretuer mais si seulement elle connaissait la famille dont été issu Balak, elle saurait pourquoi il faisait preuve d'autant de cruauté.

Enfin le chevalier fut surpris lorsque Maïwen s'approcha et lui prit la main.
Torak fut submergé par ses sentiments, à partir de cette instant, il sut qu'il aimait cette ange.

Pendant un instant il resta pensif, ne disant plus rien jusqu'au moment où il brisa le silence qui s'installait:

-Merci, Maïwen. Merci de m'aider à passer ce moment...difficile pour moi.

A ces mots, il serra un peu plus la main de l'ange.
Cette présence le rassurait, l'aider à combattre le spectre de son frère.
Enfin il regarda la reine de les yeux, lui faisant comprendre que lui aussi, appréciait énormément sa présence.

Torak se sentais mal de plus en plus, dès qu'il croisait le regard de Maïwen.
Il vit qu'elle aussi avait des seniments à son égard. Le chevalier ne savait pas quoi dire, il laissait le temps passer, il profitait de l'instant, un instant magique pour lui.
Puis il la regarda encore, la trouvant toujours plus belle de minutes en minutes.
Oui, il l'aimait, il n'y avait plus aucun doute.
Enfin le chevalier décida de faire le premier pas, il pris l'ange dans ses bras et lui souffla à l'oreille:

-Je vous aime Maïwen.

Il aurait put lui en dire plus, lui dire à quel point il l'aimait mais seul ces quelques mots était sortis de sa bouche.
Personne ne peut expliquer ce que ressentais le chevalier à cet instant.
Il était tout simplement heureux, heureux d'être avec elle, heureux de la tenir dans ses bras.

Au moment où il lui avait dis qu'il l'aimait, Maïwen fut alors heureuse , même très heureuse de celà. Elle hocha la têtte lentement afficha un très beau sourire radieux. Un homme l'aimais enfin, pas pour son titre cette fois, mais pour sa beauté ôtant interne que externe. Elle lui répondit seulement par quelques mots.

- Moi aussi, je vous aime Torak.


Elle s'approcha plus près encore de lui et dans un élan l'embrasssa lentement sur les lèvres. Elle ne continua pas longtemps le baiser, pour voir la réaction du général. Tout allait bien pour elle en cet instant béni. Elle était heureuse et toute en joie.

Torak était heureux, heureux de cet instant, heureux d'être avec elle, heureux de savoir que quelqu'un l'aimait aussi.
Puis elle l'embrassa, c'était un petit baiser rapide mais qui en faisait comprendre beaucoup au général.
Torak voyait que Maïwen était elle aussi heureuse, ils profitèrent tout deux de l'instant.
Enfin, le général déclara:

-Je crois que la colère d'Akasha est tombé, je sens que plusieurs personnes se trouvent dans la salle pour le diner. Veux-tu que nous y retournions?

Se rendant compte qu'il venait de la tutoyer, il lança un regard d'excuse à la reine, puis se sentant ridicule, il posa ses lèvres sur celles de l'ange.
Ce baiser dura plus longtemps que le précédent. A travers celui-ci, Torak voulait transmettre tout l'amour qu'il portait pour elle.
Puis il se retira et contempla la beauté de son aimée attendant une réponse.

Elle lui souit chaleureusement, en faisaint un petit rire quand il fut embarrassé de l'avoir tutoyer et quand il l'embrassa, elle appréçia ce moment magique. Ce baiser dura plus longtemps, en lui démontant bien que Torak l'aimait énormément. Quand il se recula de nouveau pour l'admirer, Maïwen l'observa tranquillement et lui répondit d'une voix douce et mélodieuse.

- Ne t'en fais pas, en privé, tu pourras toujours me tutoyer comme tu as envi.

Elle déposa un nouveau rapide baiser sur les lèvre du général et hocha la tête.

- Je crois que celà serais une bonne idée de rejoindre Dame Idril, nous aurons encore de bon moment à passé ensemble à un autre moment.

Elle lui fit un rapide clin d'oeil et se tourna vers son phénix qui n'avait pas bouger depuis un moment. Elle siffla un petit air mélodieux et l'oiseau vint voir Torak. Il l'observa un instant et toucha le général avec une de ses ailes, mais l'oiseau ne brula pas Torak. Nilshek démontra alors à Torak, qu'il lui faisait confiance et qu'il acceptait le choix de sa reine. Par la suite, le phénix vint se poser lentement sur l'épaule de la Haute-reine de lumière qui se retourna vers Torak.

- Nilshek vous accorde sa bénédiction, dit-elle en souriant. Allons rejoindre Dame Irdil et Imrahil, mon amour.

Ces mots sortirent de sa bouche lentement et tendrement. Mais au moment où elle se retournait vers lui, elle pensa alors à tout celà.

- Mais devons-nous leurs dire celà, où sommes-nous mieu d'attendre?

Le chevalier sourit à son aimée. Elle aussi le tutoyait, mais il n'en ferait usage qu'en privé comme le lui avait dit Maïwen.
Puis elle fut d'accord avec sa proposition, il était temps de retourner au dîner.
Nilshek, le phénix, fixa Torak et le toucha de son aile de feu. Le chevalier avait sentit la chaleur de cette aile embrasée, mais il n'avait reçu aucune brûlure.
Le général ria, il exprimait toute sa joie et tout son bonheur dans ce rire. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait plus rit de cette sorte.
Enfin Maïwen lui demanda s'il fallait en parler tout de suite aux grands du royaume de Nar Fëa.
Torak réfléchit, puis finit par déclarer:

-Nous devriont attendre après le mariage d'Akasha et Imrahil à moins que tu ne veuilles le dire maintenant au dîner.

Il déposa un baiser sur les lèvres de la Haute-Reine, puis reprit, souriant:

-Allons à la salle du trône, nous parlerons de ça sur le chemin.

Il lui prit la main, et ils partirent en direction de la salle.

HJ: Maïwen, post la suite à la salle du trône.

HJ : Désolé pour le retard, mon ordi à planter...

Nowe, après sa rencontre avec un deuxième dragon, avait reçu l'ordre de faire son rapport à Torak.
Il n'avait pas réagit tout de suite, Silk l'avait.... Perturbé. Il se dirigea donc vers la salle du trône en un premier temps en passant par les couloirs mais un garde lui indiqua que Sir Torak était en grande conférence avec les grands de ce monde. Il se dirigea donc vers l'écurie à tout hasard, mais là non plus : Rien.
Un chevalier lui indiqua finalement que Torak était parti sur les murailles.
Nowe se hata donc vers celles ci, et mis un certains temps avant de l'apercevoir, au loin... Accompagné ? D'une femme apparement ? Il décida de rester hors de porté d'oreille et d'observer le paysage dans la direction opposée.
Torak ne manquerait pas de remarquer sa présence et il ferrait, ma foi, comme bon lui semblait. Les moments de repos étaient rares dans un château et Nowe en profiter pour admirer la vue splendide du haut de son perchoir...
C'est alors que Torak parti vers la salle du trône. Tant pis, il profita encore un peu de ce moment de solitude et décida de rejoindre sa Reine calmement...