La guerre commence...

Je suivit alors les ordres d'Imrahil, en laissant derrière moi les deux seules personnes que j'aimais et que je considérais comme mes amis. Après quelques minutes de marche, je croisais Belor. Il s'approcha de moi en souriant et déclara:
-Torak, heureux de combattre à vos côtés, nous allons enfin pouvoir massacrés du gobelins. Allez donc chercher votre équipement et rejoignez moi dans la cour.

J'esquissait un sourire et partit en direction de ma chambre. J'y trouvais tous mon équipement de chevalier, de la lance obligatoire au superbe haume de mon père. Bien sur je pris l'épée que le dragon de lumière, Geldwin, m'avait offert. Je sortai alors de ma chambre, lance à la main, haume sous le bras. Sur le chemin, mon oncle m'interpela:
-Torak, il se dirigea vers moi, tiens prends ceci, si tu as besoin d'aide, brise le et je viendrais.

Mon oncle me tendit un rubis, je le prit et partit en direction de la cour, rejoindre, le bataillon auquel j'étais affecté.

Quand Imrahil arriva dans la cour inferieure, les chevaliers sortaient de l'enceinte du château, coordonnés par leurs chefs respectifs. Il put apercevoir Torak aux côtés de Belor, ils sortaient, suivits par une quinzaine de soldats. Derrière lui des pas légers mais pourtant avec un bruit incontesté de feraille se faisaient entendre.
En se retournant il comprit que c'était enfait Akasah qui avait revétit l'armure et qui marcahit dans sa direction.

-Elle vous va parfaitement, une merveille sur une Merveille. Un palefrenier s'approcha d'eux et tendit à Akasha un magnifique destrier noir, son destrier. Il l'aida a grimper dessus et ajouta quelques mots. Allez rejoindre Berganon, après tout c'est pour votre château que nous nous batterons.

Il la vit s'éloigner, à la suite des chevaliers. Avec une moue apréciative, il enfonça son heaume en forme de tête de Dragon sur son crâne. Son image se brouilla et elle laissa place à celle d'un dragon magnifique, ses ailes et son corps étaient revouverts d'une armure que l'on aurit dit etre une seconde peau. De la cour déserte il prit son envol, il passa par dessus les remparts. Une diziane de toises sous lui, les bataillons se mettaient en route. L'image du Dragon se brouilla à nouveau mais cette fois elle laissa place a un dragon encore plus majestueux et beaucoup plus grand. Il émit un rugissement accompagné de gerbes de flammes et sos lui résonna une clameure terrible, lancée par chacun des soldats en dessous. Imrahil se posa aux côtés de Berganon qui lui aussi était sous formes complète, il mesurait facilement une vingtaine de toises et il contemplait d'un oeil rond comme un pavois la sublime créature qui chevauchait près de son crâne.

-Alors Berg, décidé à prendre part à cette bataille?

-Un peu oui, sa fait trop longtemps qu'il n'y ne avait pas eu, c'est que je me rouillais moi! Et puis, on est en charmante compagnie.
Son rire ressemblait plus à un grognement qu'a autre chose
-En tout cas je suis content de voir que de la bénir à porté ses fruits.

-Tu l'as bénie? C'est donc de là qu'elle tient son tempéramment...

-Qu'est-ce que tu insinue?

-Explosif! Comme toi, seulement j'ai fait en sorte qu'elle n'égorge pas tout le monde à chaque fois. Il fit un clin d'oeil à la reine. Nous on avait besoin d'etre à trois sur toi pour éviter que tu ne fasse bruler tout le pays.

Derrière eux, l'armée ce m'était en branle, mais le plus impressionnants c'était surtout de voir ces deux Dragons en arlure encadrer la reine de la flamme éternelle.

Je chevauchais alors vers Argent aux côtés du chevalier Belor, chevalier que j'avais rencontré lors de ma première visite à Sarnarem. Nous discutâmes tout les deux de tout et de rien mais dans la conversation Belor déclara:

-Torak, mon ami, puis-je vous faire confiance?

-Bien sur, Belor, pourquoi cette question?

-Je vous demande cela car je voudrais vous confiez une chose.

Je regardai le chevalier, intrigué. Il reprit:

-J'ai un mauvais pressentiment, Torak. Je sens que cette bataille sera ma dernière, tenez prenez ceci. Si je meure, donnez le à ma fille, à Sarnarem et dites lui que je l'aime.

Belor me donna une chevalière. Dessus était gravé un dragon qui ressemblait étrangement à Imrahil, et sur le poitrail, était inscrit: " Belor, chevalier d'Imrahil".

Je regardai la chevalière puis mon ami. Je lui tandais sa chevalière et lui déclarai:

-Mon ami, vous ne mourrez pas. C'est vous qui annoncerez à votre fille que vous l'aimez, après la bataille et en vainqueur.

Belor reprit alors sa chevalière, en me souriant, puis nous repartîmes dans nos conversations plus banales.

Quelques minutes passèrent quand mon père m'interpela:

*Torak! Ca te dirais de connaître un membre de ta famille côté elfique?*

*Pardon!?*

*Tu croyais quand même pas que tu étais le seul fils de la famille, quand même?*

*Bon, Père, venez en à l'essentiel...*

*D'accord, si on peut même plus rigoler... ah! Ces jeunes de nos jours...Enfin bref, je voulais te prévenir qu'un elfe se dirigeais vers Sarnarem donc il vas bien sur croisé votre gigantesque armée, c'est le fils de Judonastral, l'un de tes oncles, que tu ne connais pas bien sur. Son nom est Belar et s'il te plait, préviens Imrahil de ne pas le cramer quand il le verra.*

*Et je fais comment? Je peux pas lui parler comme ça, moi. On n'est plus de 200 chevaliers.*

*Utilises ton pouvoir télépatique, tu n'a pas oublier quand même?*

*Non, Père...Je vais essayer.*

C'est ainsi que notre conversation se termina. Je me concentrais alors intensément, et parvins à atteindre l'esprit du dragon Imrahil. Enfin je lui envoyais mon message:

*Seigneur Imrahil, mon père m'a prévenu qu'un elfe venant du camps de Jacen se dirige vers nous.*

*Très bien Torak je descend pour éviter tout malentendu*

-On descend Berganon, un elfe arrive à notre encontre.

Les deux dragons ralentirent l'allure, provoquant d'incroyables bourrasques. Ils mirent "pied" à terre, les étandars de Sarnarem reculèrent ret laissèrent Le reine seule entre les deux montagnes bardées de fer.

-Alors, parlons stratégie, ajouta Berganon en repliant ses ailes, on leur rentre dedans?

-Tssk, d'une certaines façon bien entendu, Tyraël m'as prévenu, ils ont des esprits, des gobelins et des orques, et une dizaine de trolls.

-J'aime pas les esprits, comment on les tue déjà?

-D'apres Tyraël, ils sont matériels, donc on les tue à l'ancienne.

Imrahil ouvrit un oeil sur la reine, il la voyait belle et fière dans cette armure, son étendart claquant dans le vent.

-Alors ma chère, vous préconisez une technique particulière?

Cela faisait presque un jour que je chevauchais en direction de Sarnarem, lorsque j'aperçut un grand nuage de poussière au loin. Je sus tout de suite que c'était l'armée du dragon Imrahil et de la reine Akasha. Je voulus faire demi-tour pour prévenir Jacen, mais une vision m'apparut: Je vis la victoire prochaine de Jacen si je le prévenais. Le monde sombrerait alors dans le chaos et tous les peuples seraient réduis en esclavage y compris les elfes.
Pourquoi mon père veut que je combatte aux côtés de Jacen?
Ma vision disparut et je partit alors en direction de l'armée du Bien, celle d'Imrahil.
Arrivé à la hauteur de l'armée, je fus stupéfait en voyant deux dragons gigantesques. L'un d'eux était sans doute Imrahil, lorsqu'ils me virent, ils s'arrêtèrent et toute l'armée avec eux. L'un des dragons murmura une phrase, que je ne put entendre, à l'autre.
Je m'approchais, la peur au ventre, et déclarais d'une voix clair:

-Salut à vous Seigneur Imrahil et à vous aussi Grande Reine Akasha. Je me nomme Belar, fils de Judonastral, cousin de Torak, fils de ma tante Ilena. J'ai des informations capitales pour vous.

Le dragon continua à marcher, qu'il s'arrete et cela retarderai toute l'armée, non, il fixait le jeune inconnu et ne s'arreta pas. Du fait le dénommé Belar du faire décrire un cercle à son cheval pour éviter d'entrer en collision avec la geule hérissée de crocs d'Imrahil.

-Drâgne, allez chercher Torak, il chevauche à côté de Belor, troisième Garde.

-J'aurais plutôt pensé les prendre en tenaille, vos archers sur les remparts, cent chevaliers à la tête de Berganon par le nord et nous par le sud-ouest.

Quelques instants plus-tard le porte étendrad revint en compagnie d'un chevalier en armure dorée, Torak avait revétit l'armure de Geldwin mais portait un haume inconnu qui pourtant allait avace l'armure.

J'arrivais alors à la tête de la marche en compagnie d'un chevalier. Là je vis le grand Imrahil sous forme draconienne, son impressionnant cousin Berganon et la puissante Reine Akasha, vêtu d'une armure magnifique. Avec eux se trouvait un jeune elfe, c'était sans doute celui dont mon père m'avais parlé. Il était tout simplement habillé d'une cape, que les elfes sylvains portent souvent. Je distinguais la garde d'une épée à sa ceinture, et dans son dos se trouvaient un arc et un carquois remplit de flèches.
Arrivé devant les dragons et ma reine, je retirais alors mon haume et baissai la tête en signe de salut et déclarais, poliment:

-Seigneur Imrahil, vous m'avez fait quérir?

-En effet, cet homme prétend etre votre cousin, fils de Judonastral, visiblement c'est un elfe. Parlez en avec lui, et si il est bien de notre côté, renvoyez le moi.

Le dragon laissa les deux hommes ralentir et retourner dans les rangs de Belor. Tournant légèrement la tête, il observa quelques secondes le ciel, pas un seul nuage, les augures étaient bonnes. Ils marchaient là sur la voie qui menait au château de la reine, et derrière les deux dragons et la reine, les soldats entonnaient un chant de gloire pour la victoire.

-Au fait Berganon, des pilleurs auraient trouvé un artefact ayant appartenu à Tarros au lac des dieux.

-Quand?

-Deux où trois mois.

-Mmmh je ne suis pas sur que les dieux aient jamais eu besoin d'artefacts magiques.

- Eux non mais nous oui, cela pourrait etre une raison de la création de cet artefact.

Dans une très ancienne langue que l'on dit maitrisée uniquement par les dragons, les voix d'Imrahil et de Berganon s'èlevèrent.
Et devant l'air intrigué de la reine, Berganon ajouta:

-"Par le Feu et par le Fer, l'Ennemi sera éradiqué." Ce sont de vieux vers de notre serment. Etant donné qu'il est impossible a un non draconien de les connaitre en draconien, il n'en éxiste aucune version écrite. Ma très chère protectrice de la Flamme. Les créatures que nous allons combattre n'on jamais eu d'autre famille que la boue, elles n'ont ni compassion ni honneur. Des ennemis redoutables en grand nombre. Je me demande même si je ne vais pas aller tout raser...

-Toujours aussi égoïste hein! Si mes soldats ne s'entrainent pas ils vont rouiller.

-Comme tu voudras cousin. Dis moi si on mettait la petite au courant pour l'artefact?

-C'est a elle de voir, d'en assumer les conséquences et la resposabillité.

-Ah, j'aurais du...

-Il vaut mieux qu'elle sache, mais le fait que vous déteniez des informations la concernant peut vous mettre en danger, ajouta-t-il, et il n'y à que deux choses que je craigne, votre colère et Del'Garath. De toute façon je devais vous le dire, pour cette quête... Il y à environ 6...

-653ans, 8 cycles et 23 jours très exactement.

-Une armure a été créée, elle a été faite à partir d'une écaille de Tarros. Une arme a également été forgée, la particularité de ces artefacts, c'est qu'ils sadaptent à la morphologie de leur possesseur et il leur confère les pouvoirs des dragons. Cette armure aurait été fabriquée pour pouvoir nous remplacer si l'un de nous manquait. Mais elle représente une menace pour nous tant que nous ne savons pas ou elle est, et nous aimerions éviter qu'elle tombe entre les mains du dragon des tènèbres.

Je remontais alors vers Belor accompagnée de ce dénommée Belar, qui semblerait être mon cousin. Je le regardais avec méfiance, après tout il avait trahis l'armée de Jacen, pourquoi ne trahirait-il pas la notre?

*Laisse ta méfiance de coté, fils!*

*Mais, Père, il a déjà trahis une fois, pourquoi ne nous trahirait-il pas?*

*Parce que c'est un elfe, il fait la distinction entre le Bien et le Mal. Il a vut que s'allier aux..."méchants"...ne lui apporterais rien. Comprends-le Torak, il a traversé une période difficile en ce moment, parles-lui, tu es son cousin et tu verras bien assez tôt que vous aurez besoin de vous mutuellement. Et...j'allais oublier, il a un dont très spécial qui pourrais nous aidez.*

Sur ces mots mon père coupa la conversation, je me rapprochais alors de mon cousin et déclarais:

-Alors cousin êtes vous prêt à massacrer du gobelins?

Le dragon rouge sembla pensif un moment, il émettait un grondement sourd et dodelinait de la tête, au bout d'un moment, il finit par parler, sa voix était grave et rauque, elle aurait pu effrayer n'importe qui, et c'était la principale différence avec celle d'Imrahil qui était grave, chaude et posée.

-Non, impossible, j'aurais bien voulu, mais je ne pouvais pas passer mon temps à te bercer, même si j'aimais garder un oeil sur ma protégée. Mais de nombreuses rumeures courent sur ces deux artefacts. Il est possible que l'on t'en aie contée une.

-Et malgré ma surveillance je suis arrivé beaucoup trop tard cette nuit là, et j'en suis d'ailleurs désolé.

Il inclina la tete en signe de respect, ses cornes fillirent racler le sol.

-Vous savez cousin, après ce qu'il m'ont dit au camps, je serais prêt à combattre l'armée à moi tout seul.

Nous arrivâmes alors vers un grand chevalier qui nous aborda d'une voix forte:

-Alors Torak, comme ça vous ramenez de la famille pour grossir les rangs?

Mon cousin esquissa un petit sourire, puis le chevalier reprit:

-Salut à vous jeune elfe, mon nom est Belor Heimdall, chevalier du seigneur Imrahil. A qui ais-je l'honneur?

-Je m'appelle Belar Sagonne, simple voyageur en quête d'action.

-He bah vous avez choisi le bon moment, ne vous inquiétez pas vous en aurez de l'action, plaisanta Belor.

Puis je me tournais vers Torak:

-Torak il faut que je vous parle de quelque chose d'important, cela concerne votre mère.

Je regardais alors mon cousin, inquiet, avait-il des nouvelles de ma mère? Savait-il où elle se trouvait en ce moment?
Je sentis que mon père était lui aussi présent et près à écouter Belar. Je fit un signe de la tête à Belor, il se mit un peu à l'écart de moi et mon cousin. Puis, à contre-coeur je déclarai à Belar:

-Belar, je voudrais que nous parlions de ma mère après la bataille, je...je crois que si vous me donnez des informations importantes sur ma mère, je serais distrait lors des combats...

Je sentis mon père pousser un juron puis disparaître.

Mon cousin acquiessa, puis je reprit:

-Venez, j'ai reçut l'ordre de vous ramener vers Imrahil après avoir connu vos intentions.

Je fit signe à Belor, qui nous rejoignit:

-Belor, je vais ramener mon cousin à Imrahil, voulez-vous nous accompagnez?

-Mais bien sur, mon ami.

Il donna quelques ordres à l'un de ses chevaliers et nous chevauchâmes, moi, mon cousin et lui, en direction des dragons et de la reine.

-En effet, mais il faut aussi savoir que les deux sont d'abord apparus à la surface du lac des dieux, puis ils ont été transportés ailleurs. On ne connait pas vraiment la postion de l'armure mais pour l'épée...

-Elle à été trouvée il y a deux ou trois cycles, emportés par des pilleurs, il ne reste plus qu'à espérer que Del Garath en sera informé après nous.

Quelques minutent passèrent et Torak revint en compagnie de Belor et le dénommé Belar. Imrahil jugea qu'à la mine sombre de Torak, l'elfe avait du lui dire quelque chose., restait à espérer que cela ne le troublerait pas trop pendant la bataille.
Il détailla d'un oeil d'ambre l'elfe, il portait une cape de voyage usée et salie au niveau de ses bottes de cuir souple. Un arc long dépassait dans osn dos, avec un carquois rempli.

-Mmmh je suppose que comme tout elfe, vous tirez magnifiquement à l'arc, mais je ne sait pas en quelle matière vous etes le plus doué.

Nous arrivâmes alors mon cousin, Belor et moi devant les grands dragons Imrahil et Berganon, et la puissante reine Akasha. Je baissai la tête, à la manière des elfes, en guise de salut. Puis entendant la remarque d'Imrahil, je décidai de prendre la parole le premier:

-Bien entendu, Seigneur, comme la plupart des elfes, je tire assez bien à l'arc.

Je pris mon arc et une flèche puis reprit:

-Comme vous pouvez le voir cet arc est fait de bois d'if ce qui lui assure une grande souplesse et à la fois une grande solidité. Au bout des extrémitées vous pouvez distinguez deux courtes pointes de fer pour le corps à corps. Passons aux flèches: cette flèche est faite de mithril, ce qui lui permet de traversé la plupart des matériaux. Voila pour ce qui est de mon arme mais je voudrait vous faire part d'un don que je possède, qui pourrait vous être utile pour vos batailles.

Le groupe, intrigué, attendi la suite de ma phrase.

-Seigneur Imrahil, vous saurez désormais que grâce à un médaillon je peux...comment dire? percevoir l'avenir. Enfin pas l'avenir de tout le monde, je ne peux percevoir que le miens et celui des membres de ma famille.

-Evitez de le prendre pour un imbécile, fit Berganon d'un otn assez méprisant, il est chef de guerre je vous rapelle. Et je vous conseille de retirer ses lames de votre arc, cela le fragilise et face a une épée ou une masse d'arme, votre arc sera brisé.

-Il à raison, et pour votre don... Jai plusieurs théories là dessus, si vous avez une "mauvaise" vision vous allez tout faire pour empecher de se réaliser, et il est probable que cela vous mene a sa réalisation. c'est un sacré paradoxe.

-Le mieux serait qu'il se trouve avec les archers.

-En effet, sur les remparts.

Une brise lui caressa les écailles, il frémit et jeta un oeil à Akasah qui chevauchait entre lui et Belar. Cette brise fit voler ses cheveux, comme des flammes dans l'âtre d'un foyer. Elle était magnifique.

-Et vous madame, qu'en pensez vous?